Plus de soleil, de la grêle. Plus de chaleur, maximum 10°C. Plus de lumière, même en plein jour c’est la nuit.
C’est un fait : le ciel nous est tombé sur la tête ces derniers jours, perturbant notre moral, nous assommant de fatigue, ou pour certains influençant leurs intentions de vote. Quel autre phénomène pourrait-il expliquer ce qui s’est produit Dimanche au niveau national sinon un effet secondaire du manque de clarté qui nous entoure ?
Comment relever ce ciel noir et encombré qui nous pèse sur les épaules ?
On pourrait commencer par entrevoir une issue ensoleillée. La vie c’est comme la météo : on ne sait jamais ce qui nous attend vraiment. Je l’avoue, dès l’arrivée calendaire du printemps, j’aime zapper sur les sites météo. J’aime particulièrement ceux qui changent leurs prévisions tous les jours. Par exemple, ces derniers temps, les 10 prochains jours étaient annoncés froids et pluvieux. Et voilà que ce matin, je vois que dès Jeudi les choses s’arrangent. Peut être grâce à l’intervention d’une quelconque masse anticyclonique ou d’un vent d’ouest. Peu importe : les prévisions ont été bousculées, et l’avenir s’est égayé.
Rien n’est jamais acquis…
Que l’on image ou pas l’actualité française, il est de l’avis de tous que le ciel nous est réellement tombé sur la tête ces derniers jours. Après un bref aperçu du printemps, nous n’avons fait qu’une marche arrière indéterminée dans l’hiver, nous faisant ressortir écharpes et manteaux.
Malgré les trombes d’eau qui se déversent sur nous à longueur de journée, il est une chose que nous sommes quelques uns à refuser de sortir, j’en suis sûre. Vous voyez cet objet encombrant, muni d’un manche raide et courbé ? Certains arrivent à le maîtriser, ne faisant qu’un avec lui. Mais d’autres, dont je fais partie refusent de se laisser dicter leur conduite par de l’eau tombée du ciel. Nous les femmes, mettons du temps à nous coiffer, et nous nous trimbalons toujours chargées de mille et une choses dans nos sacs. Comment donc prendre, en plus, la responsabilité de protéger et surveiller un malheureux parapluie ? C’est très certainement une crise de mauvaise foi, mais mauvaise foi assumée. Je préfère avoir le teint brouillé et le cheveu frisottant que prendre le risque d’égarer un parapluie à 20e…
Dites-moi : je ne suis pas la seule énergumène à pester contre la pluie de fin avril sans prendre la peine d’avoir un parapluie ?
My Little Discoveries says
Moi j’ai pris l’habitude de trimballer mon parapluie…;o)
Blanche De Castille says
Je me suis acheté un parapluie supersonic qui s’ouvre tout seul, j’adore…mais à force de jouer à mary poppins avec je l’ai un peu cassé…et j’ai la fâcheuse habitude de le prendre quand il ne pleut pas, et de l’oublier alors qu’il va tomber des trombes d’eau…
Mais je peste contre la pluis, j’ai l’air d’une folle avec mes cheveux qui gonflent et frisottent!!!
J’ai hâte que le soleil revienne pour s’installer, que les températures remontent…
Laeti says
J’adore tes métaphores et ton article tout simplement 🙂
FleurDeMenthe says
@MyDiscoveries : tu es bien courageuse 😉
@Blanche : Toi, une Mary Poppins ?? Je ne sais pas pourquoi je n’y avais pas pensé avant !
@Laeti : Merci !!
Marinouaustralie says
Héhé moi aussi je dis non au parapluie, ça me déprime ce temps de Toussaint ! je préfère porter mon chapeau cloche !