Est-ce l’hiver, l’approche des fêtes de fin d’année, mais je semble atteinte de ce que l’on pourrait acheter (lapsus révélateur), ce que l’on pourrait appeler une fièvre acheteuse. Certaines en sont atteintes à longueur de temps, et atteignent le stade d’accro du shopping. Un article récent sur aufeminin.com a fait référence aux différences addictions qui possèdent les femmes. Je ne veux pas faire un copié de l’article que je vous ai mis en lien, mais on peux compter quatre différentes addictions : – l’accro des cadeaux : les femmes qui achètent des cadeaux d’avance, et puis en ont finalement trop d’avance. – l’acheteuse compulsive : les femmes qui subissent trois phases intenses, le plaisir de flaner, la bouffée d’adrénaline, et la culpabilité. – l’accro du shopping sur Internet – l’accro aux bonnes affaires Alors quelle solution peux-t-on avoir contre ce mal de la carte bleue, et de la conscience ? Dois-t-on faire équipe avec sa banque ? Dois-t-on sacrifier la sacro-sainte carte internationale pour une carte pour une carte à interrogation systématique du compte ? Mettre son chéquier dans un coffre fermé à double tour ? Ayant déjà tenté de ne prendre que sa disponibilité en liquide, je peux témoigner que ca ne marche pas. La fièvre acheteuse est tout de même un mal dont on ne peux pas être fière, il est de ceux qui sont créés par les publicités aggressives, et une société de consommation de plus en plus forte. Qu’importe les causes, il nous faut nous battre avec les « moyens du bord ». Je vais tenter la carte électron, à interrogation systématique. Que celles qui ont d’autres solutions, me fassent signe ! Prenons-bien en compte que cette carte est vraiment handicapante : na passe dans les péages, ne passe pas facilement à l’étranger, ni sur certains sites internet. Le mieux est d’avoir une carte internationale d’appoint, comme celle de M.
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[…] recyclées dans une activité ludique, qui vient comme une forme de récompense de l’effort : le shopping. Mais pas n’importe lequel : le shopping sportif. C’est sincèrement réjouissant d’essayer […]
sara says
mmm Je pense que la solution serait de jouer avec les mêmes armes que la publicité.. Je m’explique, si les entreprises nous poussent à consommer, des fois mêmes malgré nous, à cause de leur publicité trop agressives, le moyen de s’en sortir serait de contre-attaquer en s’exposant à tout ce qui est anti-consumérisme: lire continuellement des bouquins, articles web qui critiquent la société de consommation dans laquelle nous vivons et qui proposent des alternatives (pour ne pas dire les solutions « basiques » et « évidente » mais qu’on s’entete à ne pas les appliquer) qui « motivent » à être satisfait « with less ». C’est le seule moyen de s’en sortir. Il faut s’entourer continuellement de pensées anti-consumériste, à l’aide de ce type d’ouvrage et avec l’appui de notre conscience pour contre-attaquer les publicités poluantes qui nous suivent partout.