Maquiller ses lèvres, c’est pratique pour changer de look : tantôt femme fatale avec une bouche rouge, tantôt femme-enfant avec du rose ou du orangé…
J’ai bien saisi que le gloss n’était plus a la mode. Tant mieux : j’ai toujours pensé que cette invention était réservée aux jeunes filles. A partir de 15 ans, soit à partir du moment où on est chaque jour susceptible d’embrasser d’autres lèvres, le gloss devient le tue-baiser. Il brille, il colle, et rend très désagréable toute forme de bisou.
On a aujourd’hui un vaste choix qui s’offre a nous : rouge à lèvres classique, rouge à lèvres hydratant, crayon maxi format, …
Je ne sais pas vous, mais personnellement mes rouges à lèvres deviennent inutilisables avant d’être finis. Ils s’émiettent, ne tiennent plus, collent. Il y en a qui sont encore corrects mais vu qu’ils datent de 4 ou 5 ans j’hésite à les utiliser.
Ce n’est pas que je ne les utilise pas mais voilà : avouons tout de même que les bâtons sont interminables ! Certaines femmes pensent à en remettre au fil de la journée, d’autres comme moi n’y pensent jamais. On est toutes pimpantes à l’arrivée au bureau, et puis on se dégrade au fil de la journée. Il faut se reprendre en main les filles et pas seulement entre 7h45 et 7h50 quand on fait les finitions pour la journée !
Finalement, quand on pense que le pétrole est à la base du tous les maquillages, on se dit que c’est vraiment du gâchis. Pourquoi ne pas faire des tubes plus petits, comme les vernis ?